Sujet: darius ☾ something wicked this way comes Dim 4 Aoû - 17:24
Darius Nathaniel Van Akker
Nom : Van Akker Prénom : Darius, Nathaniel Surnom : ... Je serais vous j'éviterais. Âge : 45 ans Statut social : Veuf Orientation sexuelle : Indéterminée, il n'aime pas qu'on lui colle une étiquette. Identité secrète : C'est bien la peine qu'elle soit secrète, si on la dit...
Groupe : Êtres évolués Créature : Mutant Célébrité : Robert Knepper Crédit : Myself
everyone has a power
Ce n'était au départ qu'une simple étincelle, noyée dans l'immensité de ses yeux noirs. À l'époque, personne ne se serait douté de ce qu'il allait devenir, même pas lui. Pourtant, il avait toujours su que quelque chose chez lui ne tournait pas rond. Ne serait-ce qu'à cause de ses sautes d'humeur violentes et de son métabolisme étonnamment résistant pour un garçon de son âge. Mais au fil du temps, cette petite étincelle discrète que seuls les plus attentifs arrivaient à déceler se mua en un brasier ardent qui vint dévorer ses prunelles d’obsidienne. Il était en train de changer. Oh, pas physiquement, non. De l'extérieur, il semblait être un homme tout à fait normal, un homme dont peu de monde se souviendrait, s'ils n'avaient pas croisé son regard... Ces deux iris aussi noirs que la nuit, une fois qu'ils vous tiennent ils ne vous lâchent plus, comme des crocs qui s'enfoncent dans la chair, ils vous marquent à vie. Il y a quelque chose de bestial qui se dégage de lui, de sa démarche chaloupée, de sa voix perçante, et de cette façon qu'il a de se glisser derrière vous, à pas de loup... Là où il passe il inspire fascination et crainte, mais ne laisse personne indifférent. Un peu comme la proie qui frémit d'angoisse à l'approche de son prédateur, et finit par se laisser piéger entre ses griffes. Oui, il y a définitivement quelque chose qui ne tourne pas rond chez Darius Van Akker. Ce n'était jusqu'alors qu'un sentiment inexplicable tapis au fond de ses entrailles, rampant dans les abysses de son esprit. Et puis un jour, tout ce qu'il avait en lui a jailli sans crier gare. C'était il y a douze ans. Le point de départ était pourtant anodin, une simple dispute avec sa femme, qui dégénéra en quelque chose qu'il n'aurait jamais imaginé. Aujourd'hui encore, il ne sait pas pourquoi il est comme ça ni d'où cela vient, mais une chose est sûre, ce qui a attaqué sa femme et son fils ce soir là, ce qui a tranché leur gorge d'un coup de dents et lacéré leur peau n'avait rien d'humain. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il croisa par hasard son reflet dans la glace et qu'il y aperçut un monstre aux poils hirsutes, aux crocs sanguinolents, et aux yeux d'un noir de jais. Il n'eut aucun mal à s'en tirer, il suffisait de faire passer cela pour un accident, et personne ne se poserait de questions sur ces deux cadavres mutilés... Mais douze ans après, ces souvenirs viennent encore le tourmenter. S'il avait pu comprendre ce qui lui arrivait, s'il avait pu se contrôler, s'il avait pu faire quelque chose, peut-être que rien de tout ça ne serait arrivé. C'est ce qu'il ne cesse de se répéter. C'est sans doute pour essayer de se racheter qu'il prend sous son aile ceux qui ont besoin d'aide, mais un homme comme lui peut-il vraiment aider les autres ? Il semble si facile de saisir la main qu'il vous tend, de céder à ce sourire qui vous promet le bonheur et la liberté, mais une fois embarqué dans son périlleux navire où se mêlent drogue et ésotérisme, il est impossible de faire marche arrière. Il est si simple pour Darius de profiter de cette fascination qu'il exerce sur eux, et de leur naïveté. Il faut dire qu'en douze ans, il a eu le temps d'apprendre à maîtriser ce pouvoir dont il ignore toujours l'origine. Oh, bien sûr, il n'a jamais complètement réussi, il arrive encore assez souvent que sous l'effet de la colère son corps se métamorphose de lui-même, ce qui peut s'avérer très embarrassant dans certaines situations, il ne souhaite pas que tout le monde soit au courant de sa vraie nature. Et puis, ce n'est qu'une transformation partielle, il n'a pas l'apparence d'un "vrai" loup comme ceux que l'on a l'habitude de voir, à son plus grand dam. Il espère d'ailleurs qu'un jour elle sera complète, mais seul l'avenir dira si cela est possible. Il faut dire aussi que cette transformation s'avère toujours douloureuse, surtout après, quand il retrouve son état initial. C'est sans doute pour cela qu'il a fait du trafic de drogue l'une de ses activités. Rien de mieux pour oublier la douleur et arrondir ses fins de mois, autant faire d'une pierre de coup. Ne vous fiez pas à son sourire mielleux et à son ton suave, on ne met pas impunément la main dans la gueule du loup. Et il aura beau revêtir les attraits du frêle agneau, Darius n'en demeure pas moins un prédateur.
the Story of a hero
« I am the prayers of the naive and I control you. I am the lie that you believe and I control you. I am the needle in your vein and I control you. I am the high you can't sustain and I control you. I am the need you have for more and I control you. I am the bullet in the gun and I control you. I am the truth from which you run and I control you. I am the silencing machine and I control you. I am the end of all your dreams and I control you. I take you where you want to go, I give you all you need to know, I drag you down, I use you up, Mr. Self-destruct. »
Il était près de vingt-trois heures trente lorsqu'elle sortit de chez elle. Elle courrait presque, dans les rues désertes, le claquement sec de ses talons résonnant sur le bitume. Elle avait tellement peur d'être en retard... L'angoisse se peignait en vagues sombres dans le bleu de ses yeux, assombrissait son visage aux traits délicats et faisait trembler violemment ses membres. Mais il était trop tard pour reculer, et pour rien au monde elle ne l'aurait fait. Elle avait passé l'épreuve de la terre avec succès, réussi celle du feu avec brio, elle avait vaincu ses peurs les plus profondes, elle avait fait tout ce qu'il avait demandé, elle méritait sa place à ses côtés. Et dans quelques minutes, son désir le plus cher allait enfin prendre vie, et personne ne lui retirerait cette récompense tant attendue. Arrivée à l'entrée du vieux cimetière abandonné de Green-Wood, le souffle court, elle longea le haut mur de pierre pendant une dizaine de minutes jusqu'à l'endroit où celui-ci était à moitié effondré. Elle l'escalada sans trop de peine, puis se faufila d'un pas précipité entre les tombes rongées par le lierre et par les années. Ses yeux parcoururent avidement les allées et elle repéra bien vite ce qu'elle cherchait. La vieille statue de granit sans tête se dressait dans la nuit à quelques mètres d'elle, fidèle gardien, tendant ses bras de pierre vers le ciel étoilé. Elle courut vers lui et s'arrêta net devant la porte du mausolée sur lequel il reposait. Était-ce bien ici ? Elle hésita un instant avant de pousser la porte qui émit un grincement sinistre. Mais à la vue de la trappe rouillée qui trônait à ses pieds, sa moue inquiète se changea en un sourire triomphant. Oui, c'était bien là. Sans perdre une minute de plus, elle l'ouvrit et s'enfonça sans un bruit dans les profondeurs de la terre. Les couloirs du souterrain étaient étroits et humides, et elle n'y voyait rien. Après quelques minutes, ses yeux s'habituèrent à l'obscurité complète, et elle se guida uniquement aux lointains éclats de voix qu'elle entendait résonner dans le silence sépulcral qui régnait ici-bas. Le halo d'une torche électrique fendit soudain les ténèbres, et la jeune femme poussa un cri de surprise avant de se protéger les yeux. « Beast, c'est toi ? » Demanda-t-elle en s'approchant. L'autre lui répondit par un hochement de tête, et elle s'élança vers lui avec un sourire ravi. Ils s'étreignirent un instant, puis l'homme l'entraîna vers une porte basse dissimulée dans une anfractuosité du mur qui se trouvait derrière eux. « Il t'attend. Viens. » Elle le suivit, et ils pénétrèrent dans une pièce étonnamment large où étaient rassemblés bien plus de fidèles qu'elle n'en avait jamais vu. Elle adressa un faible sourire à ceux qu'elle reconnaissait. Beast l'emmena vers le centre, où se trouvait une sorte d'estrade. Elle pouvait sentir les martèlements furieux de son cœur contre sa cage thoracique, et c'est tout juste si ses jambes la portaient encore. Elle trébucha sans crier gare, mais fut retenue par deux bras puissants qui vinrent l'entourer. Elle leva les yeux et son cœur rata un battement. Il était là. Son visage se trouvait à quelques centimètres à peine du sien, et ses prunelles d’obsidienne la scrutaient d'un air amusé. « Darius... » Murmura-t-elle dans un souffle. Celui-ci lui intima le silence en posant un index sur ses lèvres et lui décocha un sourire en coin, celui qui la faisait chavirer à chaque fois. Il la guida jusqu'à l'estrade, au milieu de laquelle trônait deux coupes en argent et un poignard à la lame effilée. La jeune femme s'agenouilla, tandis que deux autres fidèles répandaient un cercle de sel autour d'elle et y plaçaient cinq bougies allumées, et qu'un troisième venait déposer sur ses épaules dénudées une peau de loup à la fourrure noire. Darius sortit de sa poche une longue chaîne au bout de laquelle était accrochée un pendentif à l'effigie du même animal, puis vint s'agenouiller en face d'elle et la lui passa autour du cou. Dans la première coupe, il versa une poudre blanche dont elle ne connaissait pas la nature, puis la reposa. Il se saisit ensuite de la deuxième, remplie de poussière de charbon, et y trempa ses doigts. Il se mit alors à tracer avec application un pentacle sur le front de la jeune adepte qui frémissait d'impatience sous ses doigts, puis le symbole de l'infini entre les deux yeux, et enfin il descendit jusqu'à son cou et y laissa deux longues traînées de noir qui se rejoignirent sous ses clavicules. La jeune femme laissa échapper un soupir, et serra dans sa main le pendentif. Darius sourit. Il s'empara du poignard qu'il avait jusqu'alors ignoré, remonta sa manche et l'approcha de son poignet. Un grognement s'échappa de sa gorge lorsque la lame aiguisée entailla sa peau, mais il laissa le métal se frayer un chemin dans sa chair sans un mot. Il se contenta de prendre la première coupe pour y recueillir le liquide carmin qui s'échappait en abondance de sa plaie. Une fois qu'elle fut remplie aux deux tiers, il se redressa et la leva à bout de bras, et sa voix perçante résonna dans toute la pièce. « Nos yeux ne voient que ce qui se trouve en face de nous, mais il y a tellement plus, tellement de choses qui nous demeurent invisibles, tant que l'esprit n'est pas libre. Mais nous pouvons changer ça, nous pouvons les voir ensemble. Il se tourna à nouveau vers la demoiselle et lui tendit la coupe. Si nous sommes ici ce soir, c'est pour célébrer l'arrivée prochaine d'un nouveau membre dans notre famille. Tu arrives au terme de ton parcours initiatique, tu es prête, il est temps pour toi de nous rejoindre. Elle sourit et s'inclina avec respect. Que la cérémonie commence. » À ces mots, la lumière s'éteignit brusquement, et la pièce se trouva plongée dans le noir, à l'exception des cinq bougies qui brûlaient toujours autour de la nouvelle arrivante. Lentement, elle porta la coupe à ses lèvres. L'odeur âcre du sang lui piquait le nez, mais ça lui était bien égal, et elle la vida d'un trait. Elle entreprit alors de réciter la formule qu'elle avait apprise par cœur. « Toi qui va partager mon corps aujourd'hui, donne-moi ta force et ton savoir supérieur, que je devienne loup, que la bête qui dort ici entre en moi, pour que je puisse être son porteur. Sa voix, tout d'abord tremblante, se fit plus éraillée, plus aiguë au fur et à mesure que les minutes passaient, résonnant avec force dans le souterrain silencieux. Sa vision se brouilla rapidement, elle sentait tous ses sens changer, onduler, amplifier, chaque respiration semblait souffler aussi fort qu'une tempête, chaque battement de cœur résonnait comme un tambour, et les ténèbres qui l'entouraient lui parurent s'ouvrir devant elle en une irrésistible étreinte. Que mon corps se change, que par ma pensée je devienne le réceptacle de cet esprit invoqué, qu'il me donne tout ce qu'il possède en lui, et ensemble nous serons à jamais unis. » Sa lente psalmodie s'acheva par un long hurlement, auquel tous les autres fidèles répondirent en chœur. Les bougies furent éteintes et la lumière rallumée. Darius s'approcha d'elle et lui ouvrit les bras, dans lesquels elle se jeta sans attendre, les larmes aux yeux, sous les applaudissements de ceux qui étaient désormais ses frères. Elle était heureuse, inimaginablement heureuse. Cet homme était son modèle, son idéal, sa vie, elle aurait fait n'importe quoi pour lui, elle se serait damnée pour qu'il plonge à nouveau ses yeux de jais dans les siens. Et voilà qu'ils étaient désormais unis, elle avait trouvé une famille qui l'acceptait, elle ne serait plus jamais seule et n'aurait plus jamais peur. Rien ne pouvait la combler davantage. « Félicitations... Murmura-t-il en déposant un baiser sur le front de la jeune femme. Bienvenue parmi nous, bienvenue dans la Meute. »
***
Le lieutenant Reinhardt de la police fédérale de New York était affalé sur son bureau, mordillant son crayon avec ennui et fixant son bloc-note totalement vide posé devant lui. Il poussa un long soupir avant de relever la tête. Son regard se posa sur son coéquipier qui, collé à la vitre du bureau, fixait intensément l'homme assis dans la pièce d'en face. Ce dernier, d'ailleurs, le regardait de manière semblable, ses yeux d'un noir profond plongés dans les siens, un sourire en coin quelque peu moqueur étirant ses lèvres. « Parks, arrête de le regarder comme ça. » Ordonna le lieutenant, faisant sursauter sur subalterne. « Pourquoi ? » Demanda le jeune homme en allant se rasseoir à son propre bureau. « Parce que c'est exactement ce qu'il veut. Tu ne vois pas ? Il essaye d'agir sur nous exactement de la même façon qu'il agit sur son cercle d'adeptes. Maugréa-t-il en se redressant. D'ailleurs, en parlant de ça, je n'arrive pas à écrire ce fichu rapport. Rappelle-moi ce qu'on sait sur lui, des fois que ça m'inspire... » Parks, pianota rapidement sur le clavier de son ordinateur pour ouvrir le dossier du concerné. « Hmmm, voyons voir... Ah, voilà. Darius Nathaniel Van Akker, 45 ans, domicilié au 388 Remsen Street, Brooklyn Heights, originaire des Pays Bas et professeur d'économie politique à l'université de Long Island. Il s'est installé en ville il y a douze ans, et vu le quartier où il habite je dirais qu'il est relativement plein aux as. – Pas de famille ? – Non... Ah si, un frère, mais aucune info sur lui. Et il a eu une femme et un fils. Les deux sont morts dans un accident de voiture, apparemment. – Casier judiciaire ? – Aussi vierge qu'une jeune pucelle sortie du couvent... Du moins jusqu'à aujourd'hui. – Quelle poésie, Parks... Grogna le lieutenant en levant les yeux au ciel. Antécédents psychiatriques ? – Aucuns. Tu crois qu'il faut chercher de ce côté là ? – … Il a donné la chasse à une pauvre fille sans défense, il lui a déchiqueté la gorge avec les dents et il a bouffé son cœur, je sais pas ce qu'il te faut. – … Ah oui, y a du level, quand même. – Tout ça avec l'aide de sa « Meute », comme il l'appelle. Va savoir combien il en a tué comme ça. – Quelle meute ? – Ses adeptes. Cette belle bande d'allumés qu'il se trimbale partout et qui se prennent tous pour des loups ou je n'sais quoi. – Quand on le regarde, c'est vrai que... qu'il y a quelque chose d'animal chez lui. De magnétique, presque. Ses yeux... – Il est charismatique, c'est vrai. Il le sait et il en joue, c'est le propre de tout leader qui se respecte. J'ai fait quelques recherches sur les membres de sa secte, il les récupère dans les squats, les maisons de passe et les quartiers populaires, ce sont tous des ex-taulards, des drogués, des sans-le-sou... Bref, des gens vulnérables, dépendants, qu'il a du bien assaisonner avec ses conneries de famille, d’occultisme, de transformation et Dieu sait quoi d'autre. Et tu sais pas la meilleure ? – Non, mais je sens que tu vas me le dire. – Le labo m'a faxé le résultat de ses analyses sanguines tout à l'heure, et tu sais ce qu'on y a trouvé ? Des traces de psilocybine, de morphine et de LSD. Autrement dit, ce mec, et supposément tout le reste de sa clique, sont une joyeuse bande de camés. – Tu veux dire que tout le délire de la transformation animale avec sa secte, c'est basé sur la drogue ? – Eh oui. Je te raconte même pas la quantité qu'ils ont retrouvé chez lui, ça m'étonnerait qu'il n'en profite pas pour s'en mettre pleins les poches avec sa came, ce qui expliquerait le pavillon dans Brooklyn Heights. Cependant, les traces révélées par l'analyse sont trop peu élevées pour que la prise de drogue soit récente. Ce qui veut dire que... lorsqu'il a tué cette fille, il était clean. Il se prend VRAIMENT pour un loup. Il a une sacrée araignée au plafond, si tu veux mon avis. – Toxico et cinglé... ça fait pas bon ménage. Enfin, quoiqu'il en soit, ça en fait un de moins en liberté. – Oh, à ta place j'en serais pas aussi sûr. Je suis prêt à parier ce que tu veux que son avocat mettra tout sur le compte de l'instabilité mentale et de la drogue et qu'il finira au mieux en centre correctionnel, et sinon dans un hôpital psychiatrique quelconque. Remarque, ça lui ferait pas de mal, il a clairement besoin d'un léger rappel identitaire. – Eh ben, tu l'as ton rapport ! – Ouais... Tiens, tape-le, toi. Moi ça me gonfle, je vais me faire un café. – Mais !... – Y a pas de « mais » qui tienne, et puis... tu avais l'air de tellement t'y intéresser tout à l'heure, je ne voudrais pas te frustrer. D'ailleurs, on dirait que tu l'intéresse aussi. J'te l'ai pas dit mais... il te fixe depuis tout à l'heure. »
En dehors, on m'appelle Mister Hyde. J'ai 18 ans et je viens de Paris. J'ai découvert Projet Avengers grâce à Wish (qui m'a fait un lavage de cerveau ) et m'y suis inscrit car (voir question précédente). Je serai présent au moins 5j/7 par semaine. Je trouve Projet Avengers ... et je me réjouis déjà de rp en votre compagnie. On dit souvent que mon personnage ressemble à Robert Knepper. Le code du règlement est Validé grâce a Stark et sinon, je vous pouet tous.
Code:
<span class="pris">ROBERT KNEPPER</span> - darius n. van akker
Dernière édition par Darius N. Van Akker le Mar 6 Aoû - 2:10, édité 9 fois
“Anthony E. Stark
» IRON MAN Ҩ The Stark
Messages : 365 Date d'arrivée : 18/05/2013 Localisation : Tour Stark ou Villa Stark Célébrité : Robert Downey Jr. (♥) Crédit : Avatar > //. Signature & Co > Tumblr.
Sujet: Re: darius ☾ something wicked this way comes Dim 4 Aoû - 17:30
Un lavage de cerveau ? Moi ? ... C'est vrai. M'enfin tu t'éclates déjà ça se voit. 8D
Breeef. Bienvenue donc ! Je viens seulement de remarquer que tu as le même puf que Jun.
Je valide tes codes et te souhaite bon courage pour la suite. N'hésite pas a Mpotter.
Dernière édition par Anthony E. Stark le Dim 4 Aoû - 17:36, édité 1 fois
Sujet: Re: darius ☾ something wicked this way comes Lun 5 Aoû - 19:47
Merci à vous deux
Lee Jun Hyung a écrit:
vraiment ? Je ne m'en souviens pas. A mon avis on a du faire ça à Las Vegas après plusieurs verres.
Je t'ai droguée en fait.
“Anthony E. Stark
» IRON MAN Ҩ The Stark
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Sujet: Re: darius ☾ something wicked this way comes Lun 5 Aoû - 22:21
Super ton pouvoir, c'est tout simplement parfait. *v* Pour moi tout est parfait, il ne nous manque que l'avis de deux autres admins.
Sujet: Re: darius ☾ something wicked this way comes Mar 6 Aoû - 21:02
Bon, pour moi tout semble OK! Plus que l'avis d'un dernier admin et tu seras officiellement validé!
“Anthony E. Stark
» IRON MAN Ҩ The Stark
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Sujet: Re: darius ☾ something wicked this way comes Mer 7 Aoû - 0:14
Loki est d'accord, mais il a pas poste u___u Je te valide tres cher :3