La meilleur forme d'égalité est le chaos total | The Avengers ✗ Earthquaker
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“Anton D. Kovalskovitch
Messages : 24 Date d'arrivée : 18/10/2013 Localisation : Un bon espion de reste jamais au même endroit. Célébrité : Bryan Cranston Crédit : Wish'
Sujet: La meilleur forme d'égalité est le chaos total | The Avengers ✗ Earthquaker Jeu 7 Nov - 19:21
11h 15, alentours d’une des plus grande banque de Manhattan. Trois hommes sont en place en haut d’un immeuble face à celui de la banque. Deux sont cagoulés, un autre tient sa cagoule noire à la main. Ils portent tous le même badge, mais de couleur différente, le symbole soviétique : un marteau et une faucille. Celui de l’homme non-cagoulé est gris, tandis que ceux des deux autres sont bleus et vert. Le badge gris regardant la banque depuis un moment porte un talkie-walkie à son oreille. - Il est 11 heures 15, autorisation de commencer l’opération ? - Accordée, répondit une voix dans le talkie-walkie. Le type enfila sa cagoule et fit un signe de la tête au badge bleu. Ce dernier s’accroupit et tira avec un fusil un grappin qui s’accrocha au toit de l’immeuble banquier. Le badge gris déplia une sorte de poignée et la fixa au câble afin de créer une tyrolienne. Il partit en premier et les autres le suivirent. Le gris resta monter la garde sur le toit tandis que le bleu crochetait la serrure de la porte donnant accès à l’intérieur de l’immeuble. Il partit à l’intérieur avec le vert qui était armé d’une batte de baseball pour exploser toutes les caméras de surveillances en vitesse. Le bleu resta monter la garde dans les étages supérieurs pour prendre les hommes en otages et empêcher les surveillants d’appeler la police. Lorsqu’il eut fini, en à peine une minutes, de détruire les caméras essentielles, le vert donna le signal en talkie walkie à quatre autres hommes se trouvant dans un autre immeuble voisin. Un badge noir, un orange, un violet et un marron. Ils firent de même que le premier groupe et envoyèrent un grappin vers le milieu de l’immeuble. Les plans avaient étés étudiés de très près et ils connaissaient parfaitement l’emplacement du coffre : à l’étage où le grappin s’était accroché. Le vert ayant fini son boulot neutralisa les étages du milieu. La police n’avait pas encore été appelée. Ils partirent un par un sur la tyrolienne et brisèrent la vitre pour entrer sauf le marron qui montait la garde à l’extérieur en observant l’immeuble dans sa totalité, armé d’un sniper. Le noir et le orange partirent en direction de la salle où se trouvait la porte du coffre. L’étage était déjà neutralisé par le badge vert. Le violet partit en direction d’une salle d’ordinateur et força un des otages à lui donner la combinaison du coffre qu’il transmit par talkie-walkie au badge orange. Ce dernier commença à vider les billets emballés dans des sacs tandis que le noir surveillait ses arrières. Le violet partit neutraliser les étages inférieurs et appela alors un autre groupe. - Le coffre est ouvert, vous pouvez y aller, faites vite. - Bien ressue.
Dans la rue, non loin de la banque, attendait un nouvel homme. Il portait ça cagoule dans une main et son badge soviétique rouge dans l’autre qu’il faisait tourner entre ses doigts. Il enfila sa cagoule et un taxi arriva pour lui ouvrir la porte. A l’intérieur l’attendaient trois hommes, un badge blanc qui conduisait, un kaki en tant que copilote et un bordeaux à l’arrière avec le rouge. Il repartir en direction de la banque. Le blanc prit la parole en route. - Je me demande comment le patron compte caser le pognon et tout le monde dans un taxi, y aura pas de place, déjà qu’on est au complet. - T’es con ou quoi ? lui répondit le copilote. Evidemment qu’il a prévu plus grand, c’est pas un débutant ! - N’empêche, on m’a toujours pas dit comment il s’appelait… - J’ai jamais pus le rencontrer mais ils disent que c’est un type qui se fait appeler Earthquaker. Apparemment c’est lui qui a commit l’attenta de Los Angeles en 2008, celui sur la route, où y a un type qui s’est amusé à balancer des bagnoles dans tout les sens… Ce mec doit vraiment être taré. Ils arrivèrent devant la banque, les vigils étaient calme et n’avaient été mis au courant de rien. Ils sortirent tous en même temps et exécutèrent les vigils avant d’entrer pour prendre tout le monde en otage en les empêchant aussi d’appeler la police, puis mirent des bombes à retardement entre les mains des employés attachés. Ils prirent les objets de valeurs et les portefeuilles des civils et entendirent que les autres se remmènent au signal du rouge. Ils arrivèrent tous et deux camions, un de pizza et une camionnette, s’arrêtèrent devant la banque. L’argent fut installé dans le camion de pizza et les hommes dans l’autre. Un badge jaune conduisait le camion de pizza et le badge vert questionna le badge rouge avant qu’il ne monte avec le jaune. - Eh dit donc, pourquoi on monte pas avec l’argent nous ? - J’en sais rien moi, c’est pas moi le patron ! - Et comment on peut savoir que vous allez pas vous barrer avec le fric ? - Bah vous avez qu’à passer derrière nous, comme ça vous pourrez surveiller qu’on se dégage pas de la bonne trajectoire pour rentrer ! Le vert réfléchit un instant et fit un signe positif de la tête avant de faire monter les hommes dans la camionnette. Le rouge monta avec le noir. Ce dernier retira sa cagoule pour laisser apparaitre le visage de Vlad Abramoff, bras droit d’Anton Kovalskovitch alias Earthquaker. Il s’adressa au rouge qui avait gardé sa cagoule. - Alors comme ça on passe devant ? - Ouais. - Et on fait comment pour la suite alors ? - C’est prévu. Magne-toi avant que les flics arrivent, les otages ont dus les appeler dès que la surveillance a baissée. - Bon… Abramoff démarra et partit devant. Peu après, la banque entière explosa avec ses occupants en endommageant au passage les immeubles voisins. La camionnette plein d’hommes suivit et ils passèrent inaperçu dans Manhattan avant de s’arrêter dans une ruelle. Personne ne s’était tiré avec l’argent. Le badge rouge et Abramoff sortirent du camion à pizza. Presque aussitôt, le rouge sortit un petit détonateur de sa poche et appuya sur le bouton. La camionnette pleine d’hommes explosa sous les yeux du badge noir. Abramoff n’était pas au courant qu’il avait l’intention de faire sauter ses hommes. Ce dernier annonça : - Et bah au moins c’est… radical. - Comme ça ils réclameront pas leur part. Vlad ne répondit pas et distingua un des hommes à moitié carbonisé encore en vie, cependant prêt à mourir. Ce dernier interpela le badge rouge. - Vous êtes… un monstre… Vous avez pas idée que le patron va vous tuer tout les deux pour vous piquer le fric ? Comment on peut être assez stupide pour croire que le patron ne veut pas vous tuer après que vous ayez tué les autres pour garder le fric pour lui tout seul ?! Le cagoulé s’arrêta, puis se retourna vers son interlocuteur afin de se baisser vers lui pour lui répondre : - Ah bon ? Oooh, ça serait fort dommage. Enfin, je crois que je vais me permettre de débattre un peu là dessus, tu veux ? Tu nous dis stupide… mais qui est assez stupide pour partir en mission tous cagoulés sans savoir qui est le patron ? Hum ? Le badge rouge retira alors son masque et laissa apparaitre le visage du véritable chef : Anton Kovalskovitch. - Réfléchis-y bien, et tu mourras moins bête ! Il ajouta un grand sourire cruel à sa phrase en tapotant la joue du pauvre type à l’agonie et rentra dans un bâtiment en compagnie d’Abramoff. En balançant sa cagoule à un larbin en entrant. Il demanda à un de ses agents : - Tout est en place ? - Tout patron. On a préparé la caméra, les micros et tout est prêt pour monopoliser toute les télés et radios de l’Amérique entière ! Suffit de cliquer et tout est à vous… - Parfait. A 11 heures 35 on commence… Je sens que je vais passer un des meilleurs instants de ma vie !...
[Une seul exigence, ne me trouvez pas maintenant, sinon ça gâche tout mes plans ^^]
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